Ci-dessus les pages 12 et 13 de mon livre de seconde de maths sur la soustraction de nombres entiers (seconde).
Voici la définition du dictionnaire Larousse de la soustraction : Clic droit sur la définition.
Après cette définition sur la soustraction de nombres entiers de seconde, voici en outre un exercice sur les additions et soustractions qui ne fait pas partie de mon livre :
1) A = 48 − 9 + 11,
2) B = 45 − 15 + 3,
3) C = 30 + 60 − (50 + 30) : 10,
4) D = 39 + 2 – 5 − (3 + 6 − 10),
5) E = 82 − [5 + 3 + (16 − 6) − 7],
6) F = 2 + 3 – 3 + 5 − (3 − 1),
7) G = 11 + 4 – (23 + 2 – (6 + 4)),
8) H = 26 – 7 + (20 + (7 – 3)),
9) I = 56 – (15 + 63 – 70),
10) J = 4 + (25 – 3) – 2 + (6 – 6 – 27),
11) K = 120 + [(66 – (25 + 8 – 7)) – 2].
Bon courage,
Sylvain Jeuland
Voici la transcription :
La soustraction :
Au contraire, la soustraction représente la différence, c’est à dire l’écart entre deux nombres. A partir d’un premier terme connu, on ajoute un terme inconnu pour obtenir la somme.
Ici la différence entre 2 et 7 est de 5. On a donc un écart de 5 entre 2 et 7. Si on enlève 2 à 7, ce qui correspond à la soustraction 7 – 2, on obtient 5.
La soustraction est l’opération inverse de l’addition. Tu pars d’un nombre et tu enlèves un nombre d’éléments. Cela donne l’écart entre les 2.
Pour trouver la différence dans le cercle et le point d’interrogation, on soustrait le grand nombre (la somme dans l’addition de départ) par le premier terme (comme ci-dessus). Le signe « moins » devant un nombre signifie qu’on « enlève ce nombre ».
Fin de la transcription.